jeudi 11 novembre 2021

S.E Daniel Nivagara ,Ministre des sciences, de la technologie et de l'Enseignement supérieur de la République du Mozambique à la 41e session de la Conférence générale de l'UNESCO

 




L'intervention de S. E Daniel Nivagara, Ministre des sciences, de la technologie, et de l'enseignement 
supérieur de la République du Mozambique , son intervention, à l'occasion de la 41e session de la Conférence générale de l'UNESCO

Paris, le 11 novembre 2021, 41e session de la Conférence générale de l’UNESCO

Son Excellence, Daniel Nivagara, remercie l’UNESCO et certains pays de la communauté européenne les autres organisations d’être venus au secours de son pays lors de la pandémie du Corona virus qui a freiné pendant un moment le système scolaire de son pays.

Voici ses propos :

Son Excellence Daniel Nivagara de, Ministre de l'Enseignement supérieur de Mozambique

La 41e session de la Conférence Générale coïncide avec la pandémie du Corona Virus. Un moment particulièrement difficile pour notre pays et pour le monde. La crise sanitaire a eu un impact dévastateur sur tissu social et économique.

ngobithe : Les écoles étaient fermées en Mozambique ?

Le gouvernement mozambicain, avec la contribution de toutes les forces vives de la société ont tout mis en œuvre pour atténuer les effets négatifs de la pandémie, en particulier dans le secteur de l’éducation, visant à assurer les performances scolaires nécessaires à une plus grande inclusion dans l’accès à l’éducation. Les écoles étaient fermées en mars 2020. Depuis juillet 2021, tout fonctionne normalement.

Les enseignants étaient en chômage ?

S.E Daniel Nivagara : Non, nous avons mis en place le système digital. Les fichiers et les manuels scolaires étaient numérisés et mis en ligne. Ainsi, il y avait un travail à distance entre les enseignants et les élèves. C’est pour cette raison que je renouvelle toute ma gratitude envers nos partenaires bilatérales, multilatérales y compris l’UNESCO.

Qu’attendez –vous de l’UNESCO ?

L’UNESCO a des spécialistes dans diverses domaines, telles que la culture, l’éducation, les sciences, nous voulons plutôt renforcer nos relations, en terme de partenariat.

Nous voulons partager ensemble avec l’UNESCO, l’Agenda 2030 des Nations Unies pour les objectifs de développement durable et soutenir le nouveau programme de transformation stratégique pour nous adapter aux défis mondiaux actuels.

Avez – vous des relations avec d’autres Etats membres, en dehors de l’UNESCO ?

Bien sûr, nous profitons de cette conférence pour rencontrer et établir des liens avec d’autres pays.

 

Thérèse Diatta Ngoboh

 

 

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