En compagnie du guide, on se rend à la plantation du poivre
Le 19 mars dernier, avec l’AFF (Accueil femmes
Francophones Douala), nous avons visité
les plantations du poivre de Penja
Nous sommes attentifs aux explications du guide
Le poivrier
Pendja, à 100 km de Douala, se trouve dans la région
du Moungo, là, la terre est fertile. Le village s’élève à 250 mètre d’altitude.
Avec un climat tropical chaud et humide : 30° le jour, 22° la nuit. La
saison sèche, sans pluie, de décembre à mars. La grande saison de pluie commence
en juillet pour se terminer en
septembre. Les propriétaires de ces plantations y sont installés depuis trois
générations et ont un savoir faire traditionnel, cultivent la papaye,
l’ananas, la banane, le cola et
notamment du poivre.
Presque la fin de notre visite
Penja est enrichi par son terroir volcanique et son
climat équatorial, ce qui fait de lui, un lieu exceptionnel pour la culture du
poivrier.
Nous étions tous ravis de découvrir le poivre de
Penja. A chaque étape de notre marche on s’arrêtait pour goûter le vrai poivre,
sentir ses arômes et apprécier sa saveur. Selon les explications du guide qui
nous accompagnait, le poivre blanc de penja
révèle et relève les mets simples comme étant l’un des poivres le plus
épicé et le plus rare.
Elle fait sa cueillette
Ici au sommet, on contemple le paysage de Penja
Pour sa transformation, le poivre est cueilli à la
main, grappe par grappe, il est ensuite mis dans des grands sacs et trempé dans
les bacs remplis d’eau. Une fois libéré des sacs, les grains sont étalés côte à
côte et sèchent naturellement une semaine au soleil. C’est son exposition au
soleil qui le blanchit. Dès qu’il est sec, les femmes le tamisent. Les gros
grains blancs restés dans le tamis constituent le poivre blanc de Penja.
Pose à la plantation
Penja et sa plantation
Pose déjeuner chez Sylvie Tiani, Christine, présidente de l'AFF debout à gauche
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