La Femme du ferrailleur, Film de Danis Tanovic Sortie, le 26 février 2014

La femme du ferrailleur, Film de Danis Tanovic 

                                                                                                     Distribution Zootrope Films 

                                                                                                                   Ciné-Sud promotion

Sortie en salle le 26 février

 Synopsis

Nazif est ferrailleur. Il vit en Bosnie avec sa femme, Senada et leurs deux filles. Un jour, Senada se plaint de terribles maux de ventre et doit se faire hospitaliser d’urgence, mais faute de couverture sociale, le couple doit payer  l’opération : une somme considérable qu’ils n’ont pas. Durant dix jours, Nazif fait tout pour sauver la vie de Senada en cherchant de l’aide auprès des institutions et en multipliant des efforts pour trouver et vendre plus de ferraille.

Danis Tanovic est né à Zénica en Bosnie-et-Herzégovine en 1969 et a grandi à Sarajevo. Il a étudié à l’Académy of  performing art où il s’est formé comme réalisateur.

Quand la ville de Sarajevo  s’est retrouvée assiégée, il a passé deux ans à filmer le conflit en priorité. Ses images ont alimenté films et reportages sur la guerre en Bosnie.

En 1994, Danis Tanovic émigre en Belgique  et s’inscrit à l’Insas,  pour améliorer sa formation de metteur en scène où il réalise ses premiers courts métrages.

Son premier court métrage

No Mann’s Land (2001), a gagné l’Oscar et le Golden Globe du meilleur film étranger et le prix du scénario au Festival de Cannes.

Il enchaine ensuite avec l’Enfer (2005), coécrit avec Krzysztof Kieslowski,

Eyes of war (2009) et Cirkus Columbia (2010).

D’après Danis Tanovic, le réalisateur, le couple dans le film, Nazif et Sénada ont joué le rôle  de leur histoire en Bosnie-et-Herzégovine.  Danis Tanovic avait lu leur histoire dans un journal, il était choqué, il est donc allé à leur rencontre et leur a demandé d’interpréter ce qu’ils ont vécu.

« Le plus difficile, c’était le travail avec les enfants du couple »… Danis Tanovic

Tanovic

Thérèse Diatta ngoboh

C’est eux les chiens, film écrit et réalisé par Hicham Lasri

C’est eux les chiens, au Cinéma le 5 février 2014, distribution Nour Films, Patrick Sibourd avec le soutien de Ciné-Sud promotion

C'est eux les chiens au Cinéma le 5 février 2014

 

Hicham Lasri, cinéaste, réalisateur, scénariste,  né à Casablanca, au Maroc. Après des études juridiques et économiques, il s’oriente vers le cinéma,  et entame une longue formation en écrivant des pièces de Théâtre, des romans, des scénarios  et des bandes dessinées.  Il se dirige ensuite à l’école de publicité et du clip avant de réaliser ses premiers courts-métrages basés sur la société Marocaine avec une approche personnelle où, il décrit et dévoile le décor et le mode de vie des habitants.

Ses réalisations

C’est eux les chiens, sélectionné à cannes en 2013 par ACID

The End, un premier long métrage, sélectionné à Cannes par ACID en 2012

Android,  court métrage, 2010

Synopsis du film, c’est eux les chiens

Majhoul vient de passer 30 ans dans les geôles marocaines pour avoir manifesté en 1981 durant  « les émeutes du pain ». Il retrouve la liberté en plein Printemps arabe. Une équipe de télévision en quête du scoop, donc d’exclusivité, décide de le suivre dans la recherche de son passé. Ulysse moderne, Majhoul les entraine  dans une folle traversée de Casablanca, au cœur  d’une société marocaine en ébullition, c’est ainsi qu’ils découvrent comment un perdant, mais brave personnage se fraie un chemin pour regagner  sa place dans une société arabe, tiraillée entre un conservatisme puissant et une soif de liberté.

Selon le réalisateur, Hicham Lasri, C’est eux les chiens, ce n’est ni une accusation, ni une condamnation. C’est un simple constat. Il a ressenti comme un désir urgent de réaliser ce film, de filmer la rue en ébullition, au moment du printemps arabe, un désir de recréer un Ulysse moderne qui revient à la vie pour reconquérir sa femme, ses enfants et sa vie…

Thérèse Diatta Ngoboh

Le sac de farine, histoire vraie de Kadija Leclere

           Le  sac de farine, sortie en salle le 26 mars
 Dans le  cadre de la deuxième rencontre francophone des Lumières, grazyna Arata, présidente de l’Académie des lumières, Jean-claude Walter, Président de l’Institut de l’image et du son, Laurent Mazaury, Président de la SEM, Ciné 7,  Élancourt, dans les Yvelines, ont présenté en avant première, Le sac de farine, histoire vraie de Kadija  Leclere . Yolande Moreau est la marraine de cette deuxième édition.

Kadija leclere, Comédienne sortie du conservatoire royal d'art dramatique de Bruxelles en 1997, elle exerce ce métier pendant quelques années avant de travailler comme directrice de casting sur une centaine de films comme Indigènes de Rachid Bouchareb, survivre avec les loups de Véra Belmont, Mr Nobody de Jaco Van Dormael, Les Barons de Nabyl Ben Yadir, Illégal de Olivier Masset-Depasse...

 Sac de farine, film inspiré d’une histoire tragique et vraie,  sortira en salle le 26 mars dans toute la France.

Dans le Film Smain est l’un des acteurs principal, donc le père, il apparait très peu, parce qu’il abandonne sa fille âgée de huit ans chez ses parents au Maroc.

Les acteurs avec le rôle important dans le film,  Hafsia Herzi, Hiam Abbass,  Mehdi Dehbi, Ramia mellouli, Souad Sabir, distributeur Mica Films.

Synopsis du film sac de farine

Alsemberg, 1975, Sarah 8 ans, vit dans un foyer d’accueil catholique. Un jour, son père biologique (Smain  dans le film) qu’elle n’a jamais vu, se présente pour l’emmener en week-end à Paris, mais c’est au Maroc que Sarah se réveille avec l’appel de la prière. A partir de cet instant, sa vie, son combat sera celui de choisir sa vie et non de subir ce qu’on lui impose…

Smain Fairouze : acteur, réalisateur, producteur, scénariste, né le 3 janvier 1958, âgé de 56 ans, il est l'un des acteurs principal : Quel est son opinion ?

« Il s’agit d’une aventure humaine, la question d’une double identité ». 

Que pense Kadija sur l’apparition de la mère voilée et isolée dans le film ?

           Kadija :  la mère dans le film est une mythologie, un rêve, elle attendait toujours son mari, ne le voyant pas, elle était devenue folle et ne reconnaissait plus sa fille…

 Thérèse Diatta Ngoboh